Tourné en plan-séquence, la vidéo Le parc dévoile un champ enneigé dans la nuit, le visage de l’artiste, puis sa silhouette. Dans un lent mouvement de travelling, la caméra s’éloigne petit à petit, puis revient. On est attiré par la nuit, par la présence forte du sujet qui se détache de l’obscurité et par ce va-et-vient qui retient le temps. Marion Gotti semble se trouver à la merci de la lumière, de la caméra et du regardeur.